samedi, avril 20, 2024

Comment les nouvelles technologies peuvent aider à développer ces filières porteuses en Afrique ?

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La majorité des contrées appartenant au continent africain sont classées comme des pays sous-développés et endettés. Malgré que la grande partie de la population africaine soit constituée des jeunes, l’économie globale du continent peine à décoller pour diverses raisons.

L’une d’entre elles est la mauvaise orientation que suivent ces jeunes après leur étude. Avec l’avènement des nouvelles technologies aujourd’hui, plusieurs innovations ont été enregistrées, mais il reste encore à faire. Voici comment multiplier les résultats qui impactent positivement les pays africains.

3 filières porteuses en Afrique

Actuellement en Afrique, un grand nombre de jeunes peuvent suivre le processus d’un pari en ligne sans difficulté. Toutefois, la majorité d’entre eux sont encore au chômage et ne connaissent pas vraiment les secteurs d’activités favorables pour le continent. Découvrez ci-après 3 de ces secteurs en plein essor dans les pays africains. 

L’agriculture 

Le secteur de l’agriculture est certes confronté à d’énormes défis, mais il reste l’un des plus grands sur le continent. Il permet de nourrir des milliards de familles au quotidien. Par ailleurs, cette filière est confrontée entre autres à la perte de plusieurs productions pour des raisons de manque de planification. Pour éviter cela, il serait judicieux d’installer sur place dans les grandes zones de production des industries de transformation pour limiter les pertes.

En dehors de cette alternative, il serait également bénéfique de créer des bases de données qui associent tous les producteurs, les commerçants et les consommateurs. Ainsi, les agriculteurs pourront communiquer en temps réel à propos des offres, simplifier les tâches dans la chaîne de distribution et réduire les problèmes liés à l’insécurité alimentaire.

La restauration

Ce domaine d’activité se développe de plus en plus en Afrique et offre une large palette d’opportunités aux entrepreneurs. Pour qu’il soit davantage développé, il faudrait que les personnes qui y établissent leur business pensent à optimiser l’expérience de la clientèle. De nos jours, la technologie propose un certain nombre d’équipements à cet effet.

Les restaurants africains peuvent par exemple installer des bornes de commande pour simplifier la tâche aux clients. Il est vrai qu’aujourd’hui en Afrique, les restaurants qui proposent leurs services en ligne sont multiples. Néanmoins, pour la majorité d’entre eux, la qualité du service laisse à désirer. Il serait alors bien de l’améliorer en utilisant des outils modernes comme sites web professionnels ou les sites e-commerces qui sont réglementés. 

Le tourisme 

Ce secteur se développe à grande échelle en Afrique depuis plusieurs années. Actuellement, nombreuses sont les destinations qui accueillent chaque an des milliers de touristes sur le continent. En outre, il faut signaler que le tourisme local et éco-responsable ne sont pas encore promus à un grand niveau. Pour ce faire, le digital et les réseaux sociaux peuvent être mis à profit pour inciter les africains eux-mêmes à s’intéresser à leurs cultures et à leurs patrimoines. 

Il faudra également que des initiatives soient lancées pour amener les acteurs de la chaîne touristiques à accorder plus d’importance aux touristes locaux et à leur offrir de meilleures expériences. À travers des systèmes de notation en ligne, bon nombre de complexes hôteliers et de restauration pourraient améliorer la qualité de leurs services et contribuer au développement.

Que faire pour inciter les jeunes à s’intéresser aux secteurs d’avenir ?

Pour faire évoluer les choses et permettre à l’Afrique de se développer pleinement, offrir plus d’opportunités de bourse aux jeunes dans les filières d’avenir serait l’idéal. Cela pourrait attirer un grand nombre de personnes à s’investir dans ces secteurs prometteurs après quelques années d’études supérieures.

Il serait également de bon ton d’initier des tables rondes avec la jeunesse pour déterminer les problèmes qui minent ces secteurs. Une fois ceci fait, des organismes publics et privés pourraient être délégués pour organiser des hackathons dans le but de trouver des solutions qui se basent sur les nouvelles technologies.

Pour que l’Afrique puisse s’épanouir à ce siècle, il est capital que la jeunesse soit réorienter. Il faut que celle-ci soit positionnée au cœur des actions et que le numérique soit exploité convenablement.